Pour
commencer à entrevoir la logique, voire l’utilité,
de symptômes ou maladies, prenons l’exemple de la
douleur.
Partons d’une expérience personnelle très
récente : ces derniers jours, une douleur ostéo-articulaire est
apparue soudainement…
Dans un premier temps, elle m’a
alerté afin que je pose une attention toute particulière sur
la zone du corps correspondante…
La douleur devenant
plus vive lors de certains mouvements, elle m’a bloqué dans ces
derniers… N’est-ce pas là un des rôles majeurs de la douleur ?
Éviter tout geste, posture, mouvement qui aggraverait la
lésion… Elle a donc un rôle majeur préventif.
En
me contraignant à demeurer dans les positions indolores, positions
optimales pour l’autoguérison du corps, elle a aussi un rôle indirectement curatif.
Dans ma pratique
quotidienne du yoga, j’ai provisoirement adapté les postures et la
durée de chacune. Et c’est bien l’écoute des sensations
"pré-algiques" (avant la douleur) qui m’a
guidé.
Pourquoi cela passe-t-il par une perception désagréable ? Car le côté agréable ou désagréable
des sensations fait partie des bases de la survie dans la nature.
L’animal ou l’humain va vers ce qui lui est agréable et fuit ce
qui lui est désagréable.
Et si, de la même manière, on
questionnait d’autres symptômes courants
?
https://pascalguillemain.jimdofree.com
👉 Pour
recevoir, chaque semaine, le dernier article, par courriel :
https://framaforms.org/blog-1762876413
.

%20%20(960x257)%20%20.jpg)

